Grâce au zèle éclairé du clergé paroissial, au concours dévoué des communautés religieuses et de plusieurs notabilités de la ville, Saint-Geniez a paru pendant plus d'un mois, comme une immense ruche où, pareils à des abeilles diligentes, hommes, femmes, enfants, riches et pauvres ont travaillé l'envi, pour décorer merveilleusement les maisons, les rues et les places publiques.

Le sentiment religieux a le pouvoir d'électriser toutes les volontés. S'il est vrai de dire que la fin couronne l'oeuvre, finis coronal Opus, ce triduum solennel, en l'honneur de Marie, a clôturé dignement dans notre pays, les fêtes cardinalices.

Il mérite une mention spéciale, dans les Annales religieuses du diocèse. C'est une page incomparable de notre histoire locale.

Nous allons donner un fidèle résumé de ces fêtes, pour l'édification et la joie des vrais serviteurs de Marie.